UN SOUFFLE D’ELLE

LES SANS ABRI

Trop de palabres.  Peu d’actions.

Vocal et paroles : Patricia Lenoir
Musique : Raymond Donnez

THE HOMELESS

Too much talk, not enough action.

Vocal & lyrics : Patricia Lenoir
Music : Raymond Donnez

UN SOUFFLE D’ELLE
texte : Patricia Lenoir 2024 prod Lauriston music

Pas d’endroit où dormir ce soir
Même nuit que la veille
Elle vit au bras du désespoir
Privée de sommeil
Sacs en plastique où elle trimballe
Toute sa vie À dos
Cartons et feuilles papier journal
Comme une seconde peau

Quelle trace laissera-t-elle si elle s’endort
Dans le froid de l’hiver sous l’œil des passants ?
Rien qu’un souffle d’elle qui s’évapore…
Qu’ça nous indiffère ou nous glace le sang

Pas d’endroit où dormir, elle pleure
Là, sous nos fenêtres
Ça nous touche quelquefois le coeur
Puis, ça nous sort d’la tête
Qui lui offrira du soleil ?
La costa del sol,
Des rayons d’or et de vermeil
Plus chauds que l’alcool

Quelle trace laissera-t-elle si elle s’endort
Dans le froid de l’hiver sous l’œil des passants ?
Rien qu’un souffle d’elle qui s’évapore…
Dans l’immense univers, sous nos airs absents

Pas d’endroit où dormir, elle part
Même en titubant
Elle connaît les rues, les trottoirs
Bien mieux qu’ses enfants…
Elle les a quittés un beau soir
Ça fera trente ans !

Quelle trace laissera-t-elle dans le décor ?
Une silhouette dans la nuit, une larme dans l’océan ?
Rien qu’un souffle d’elle qui s’évapore…
Sans vie et sans bruit au milieu du néant
Rien qu’un souffle d’elle, oui, mais alors…
D’une vie sur terre que reste-t-il vraiment ?

UN SOUFFLE D’ELLE

LES SANS ABRI

Trop de palabres.  Peu d’actions.

Vocal et paroles : Patricia Lenoir
Musique : Raymond Donnez

THE HOMELESS

Too much talk, not enough action.

Vocal & lyrics : Patricia Lenoir
Music : Raymond Donnez

UN SOUFFLE D’ELLE             texte : Patricia Lenoir 2024 prod Lauriston music

Pas d’endroit où dormir ce soir
Même nuit que la veille
Elle vit au bras du désespoir
Privée de sommeil
Sacs en plastique où elle trimballe
Toute sa vie À dos
Cartons et feuilles papier journal
Comme une seconde peau

Quelle trace laissera-t-elle si elle s’endort
Dans le froid de l’hiver sous l’œil des passants ?
Rien qu’un souffle d’elle qui s’évapore…
Qu’ça nous indiffère ou nous glace le sang

Pas d’endroit où dormir, elle pleure
Là, sous nos fenêtres
Ça nous touche quelquefois le coeur
Puis, ça nous sort d’la tête
Qui lui offrira du soleil ?
La costa del sol,
Des rayons d’or et de vermeil
Plus chauds que l’alcool

Quelle trace laissera-t-elle si elle s’endort
Dans le froid de l’hiver sous l’œil des passants ?
Rien qu’un souffle d’elle qui s’évapore…
Dans l’immense univers, sous nos airs absents

Pas d’endroit où dormir, elle part
Même en titubant
Elle connaît les rues, les trottoirs
Bien mieux qu’ses enfants…
Elle les a quittés un beau soir
Ça fera trente ans !

Quelle trace laissera-t-elle dans le décor ?
Une silhouette dans la nuit, une larme dans l’océan ?
Rien qu’un souffle d’elle qui s’évapore…
Sans vie et sans bruit au milieu du néant
Rien qu’un souffle d’elle, oui, mais alors…
D’une vie sur terre que reste-t-il vraiment ?