Story-fr2025-01-03T21:19:39+01:00

All that’s unspoken

Enregistré dans les années 70 par SHAKE sous le titre TU SAIS JE T’AIME. Revu et corrigé par Patricia Lenoir en 2024.
Vous pouvez regarder la video sur YouTube:

Originally performed in the 70’s by SHAKE under the title TU SAIS JE T’AIME. This is the revived 2024 version by Patricia Lenoir.
You can watch the video on YouTube :  

ALL THAT’S UNSPOKEN
(paroles anglaises de « Tu sais je t’aime » by Lexie Kendrick)

You come to me when all goes wrong
I’ve heard it all before all hearts get broken
A confidant to lend an ear
But when will there be more? All that’s unspoken

I’m just A friend but can’t you see
The longing in my eyes all that’s unspoken
And if today I say those words
Would you realize my heart is open

I remember the sunday when I fell for you
It was just like the french say “le coup de foudre”
In A small paris café our eyes met from far away
Then you smiled at me, same as today

I remember the sunday when I fell for you
It was just like the french say “le coup de foudre”
In A small paris café our eyes met from far away
Then you smiled at me, just like today

You smile at me, we understand
At last we’re hand in hand all that’s unspoken
I feel the floor fall underway
Your kisses seem to say all that’s unspoken

All that’s unspoken
Your kisses seem to say all that’s unspoken
All that’s unspoken
All that’s unspoken
All that’s unspoken

All that’s unspoken

Enregistré dans les années 70 par SHAKE sous le titre TU SAIS JE T’AIME. Revu et corrigé par Patricia Lenoir en 2024.
Vous pouvez regarder la video sur YouTube:

Originally performed in the 70’s by SHAKE under the title TU SAIS JE T’AIME. This is the revived 2024 version by Patricia Lenoir.
You can watch the video on YouTube :  

ALL THAT’S UNSPOKEN (paroles anglaises de « Tu sais je t’aime » by Lexie Kendrick)

You come to me when all goes wrong
I’ve heard it all before all hearts get broken
A confidant to lend an ear
But when will there be more? All that’s unspoken

I’m just A friend but can’t you see
The longing in my eyes all that’s unspoken
And if today I say those words
Would you realize my heart is open

I remember the sunday when I fell for you
It was just like the french say “le coup de foudre”
In A small paris café our eyes met from far away
Then you smiled at me, same as today

I remember the sunday when I fell for you
It was just like the french say “le coup de foudre”
In A small paris café our eyes met from far away
Then you smiled at me, just like today

You smile at me, we understand
At last we’re hand in hand all that’s unspoken
I feel the floor fall underway
Your kisses seem to say all that’s unspoken

All that’s unspoken
Your kisses seem to say all that’s unspoken
All that’s unspoken
All that’s unspoken
All that’s unspoken

AMOUR METEO V3

Version 3 de AMOUR METEO.

Vous me direz laquelle vous préférez.

Version 3 of AMOUR METEO.

Which one do you prefer ?

Amour météo
texte : Patricia Lenoir 2024 prod Lauriston music

Je te ferai l’amour idéal après dissipation des brumes matinales
Dans tes yeux, tout ce bleu outremer
N’annonce même pas d’ondée passagère
Je ferai de ce jour, un jour pas si banal
Aussi beau que le sont, les aurores boréales

Je t’offrirai un ciel en partage
Qui n’aura plus jamais tendance à l’orage
Aucun vent ne pourra faire taire…
​Nos cœurs comme des volets battants grands ouverts
Un parfum de terre après les pluies de septembre
​Et cet instant que nul ne pourra nous reprendre

Dans ces moments là, baignés de douces turbulences
Aller jusqu’au bout de l’innocence
Puis redessiner le ciel et prendre un rêve d’avance
Et dormir près de toi, tellement près de toi

Tu me feras l’amour idéal après dissipation des brumes matinales
De nos ébats en étreintes éclairs :
Garder comme une empreinte au fond de nos chairs
Que les continents dérivent, que viennent les tempêtes !
Ces sentiments là, au fond, tu sais, rien ne les arrête

Et dans ces moments là, baignés de douces turbulences
Soudain tous les mots perdent leur sens
Pour redessiner le ciel et prendre un rêve d’avance
Il suffit parfois de s’aimer comme ça

Je te ferai l’amour idéal à l’aube du crépuscule d’un soir automnal
Un quart de lune en porte-bonheur
Viendra s’accrocher jusqu’au bout nos cœurs
Comme les yeux d’un enfant qui vient de voir le jour
​Comme les yeux de cet enfant qui viendra de l’amour

Je te ferai l’amour idéal après dissipation, après dissipation, des brumes matinales
Comme les yeux d’un enfant qui vient de voir le jour
​Comme les yeux de cet enfant qui viendra, qui viendra de l’amour

AMOUR METEO V3

Version 3 de AMOUR METEO.

Vous me direz laquelle vous préférez.

Version 3 of AMOUR METEO.

Which one do you prefer ?

Amour météo                        texte : Patricia Lenoir 2024 prod Lauriston music

Je te ferai l’amour idéal après dissipation des brumes matinales
Dans tes yeux, tout ce bleu outremer
N’annonce même pas d’ondée passagère
Je ferai de ce jour, un jour pas si banal
Aussi beau que le sont, les aurores boréales

Je t’offrirai un ciel en partage
Qui n’aura plus jamais tendance à l’orage
Aucun vent ne pourra faire taire…
​Nos cœurs comme des volets battants grands ouverts
Un parfum de terre après les pluies de septembre
​Et cet instant que nul ne pourra nous reprendre

Dans ces moments là, baignés de douces turbulences
Aller jusqu’au bout de l’innocence
Puis redessiner le ciel et prendre un rêve d’avance
Et dormir près de toi, tellement près de toi

Tu me feras l’amour idéal après dissipation des brumes matinales
De nos ébats en étreintes éclairs :
Garder comme une empreinte au fond de nos chairs
Que les continents dérivent, que viennent les tempêtes !
Ces sentiments là, au fond, tu sais, rien ne les arrête

Et dans ces moments là, baignés de douces turbulences
Soudain tous les mots perdent leur sens
Pour redessiner le ciel et prendre un rêve d’avance
Il suffit parfois de s’aimer comme ça

Je te ferai l’amour idéal à l’aube du crépuscule d’un soir automnal
Un quart de lune en porte-bonheur
Viendra s’accrocher jusqu’au bout nos cœurs
Comme les yeux d’un enfant qui vient de voir le jour
​Comme les yeux de cet enfant qui viendra de l’amour

Je te ferai l’amour idéal après dissipation, après dissipation, des brumes matinales
Comme les yeux d’un enfant qui vient de voir le jour
​Comme les yeux de cet enfant qui viendra, qui viendra de l’amour

ET JE RESPIRE

ET JE RESPIRE
texte : Patricia Lenoir 2024 prod Lauriston music

Ça fait si longtemps que la blessure résiste
C’est comme si je m’y étais presque habitué
Mais tu vois le temps nous rend plus réaliste
Et tant bien que mal nous aide À supporter…
La noirceur des mauvais rêves
Qui très lentement s’achèvent
Pour me laisser enfin une chance

Et je respire sans me retenir
Comme si un voile s’était levé
Tout le brouillard s’est dissipé
Et je respire au point d’en sourire
Pour en finir une dernière fois
Avec celui qui n’est plus moi et je respire

Je m’en sors enfin et je me sens revivre
Mais les bleus À l’âme ne partiront jamais
Puis tu sais, je n’veux pas refermer le livre
Finalement, pourquoi vouloir tout oublier ?
Et je garde en moi les cendres
D’un amour encore plus tendre
Que tu n’le seras jamais

Et je respire sans me retenir
Comme si un voile s’était levé
je me sens le cœur plus léger
Et je respire au point d’en sourire
Je n’étouffe plus ce beau chagrin
J’ai presque brisé tous les liens et je respire

Les colères que rien n’arrête
Les ouragans, les tempêtes
Et ces silences qui hurlaient tellement fort
Puis les lachetés, les faiblesses
Toutes ces paroles qui blessent
Tout cela, tu vois, c’est sans remords

Et je respire sans me retenir
Comme si le vent s’était levé
Tout le brouillard s’est dissipé et je respire
Et je respire sans me retenir
Au creux des lignes de ma main
J’écris un tout nouveau destin
Et je respire au point d’en sourire
Je n’étouffe plus ce beau chagrin
J’ai presque brisé tous les liens et je respire

ET JE RESPIRE

ET JE RESPIRE                    texte : Patricia Lenoir 2024 prod Lauriston music

Ça fait si longtemps que la blessure résiste
C’est comme si je m’y étais presque habitué
Mais tu vois le temps nous rend plus réaliste
Et tant bien que mal nous aide À supporter…
La noirceur des mauvais rêves
Qui très lentement s’achèvent
Pour me laisser enfin une chance

Et je respire sans me retenir
Comme si un voile s’était levé
Tout le brouillard s’est dissipé
Et je respire au point d’en sourire
Pour en finir une dernière fois
Avec celui qui n’est plus moi et je respire

Je m’en sors enfin et je me sens revivre
Mais les bleus À l’âme ne partiront jamais
Puis tu sais, je n’veux pas refermer le livre
Finalement, pourquoi vouloir tout oublier ?
Et je garde en moi les cendres
D’un amour encore plus tendre
Que tu n’le seras jamais

Et je respire sans me retenir
Comme si un voile s’était levé
je me sens le cœur plus léger
Et je respire au point d’en sourire
Je n’étouffe plus ce beau chagrin
J’ai presque brisé tous les liens et je respire

Les colères que rien n’arrête
Les ouragans, les tempêtes
Et ces silences qui hurlaient tellement fort
Puis les lachetés, les faiblesses
Toutes ces paroles qui blessent
Tout cela, tu vois, c’est sans remords

Et je respire sans me retenir
Comme si le vent s’était levé
Tout le brouillard s’est dissipé et je respire
Et je respire sans me retenir
Au creux des lignes de ma main
J’écris un tout nouveau destin
Et je respire au point d’en sourire
Je n’étouffe plus ce beau chagrin
J’ai presque brisé tous les liens et je respire

L’AIR DU TEMPS EFFRAIE

Café noir et gilets jaunes

Un jour où j’allais sortir m’acheter une baguette de pain, j’ai entendu une rumeur grandissante sur le boulevard. Des manifestants brandissaient des pancartes et hurlaient des slogans, et certains d’entre eux fracassaient vitrines et mobiliers urbains sur leur passage. Je me suis soudain littéralement sentie comme le cerf effrayé par la battue. J’ai sorti des biscottes du placard… et mon stylo pour écrire sur l’air du temps !  

Vocal et paroles : Patricia Lenoir
Musique : Frédéric Mathet

Black coffee and yellow jerseys

I was going out to get myself a baguette when I heard a rumor coming from Boulevard St. Germain.Demonstrators were brandishing placardsand some of them were smashing sho windows and other urban

I suddenly felt like a deer frightened by the hunt.I helped my self to some dry bicuits , took my pen and started writing Le Temps de l’Air effraie.Or to put is simply, These Are Scarry Times.

Vocal & lyrics : Patricia Lenoir
Music : Frédéric Mathet

L’AIR DU TEMPS EFFRAIE
texte : Patricia Lenoir 2024 prod Lauriston music

Le climat est tendu, envie de fuir, d’aller voir plus loin
C’est chaud dans la rue, j’ose pas sortir
Même pas pour acheter du pain
Tout devient trop électrique
Coupe les infos et mets plus fort la musique !

Le fond de l’air du temps effraie

Le climat est tendu, il pleut des pierres, la ville est en rage
Gôut de déjà-vu, d’orange amére :
Sous les pavés, pas de plage
Tout devient trop chaotique
On casse nos rêves et plus personne n’en fabrique

Le fond de l’air du temps effraie on est frileux sans doute
Mais tout se perd même les degrés en août
Tout fout le camp mais, quand même,
On trouve encore des gens déjantés qui s’aiment

Été comme hiver, ils sortent couverts
Et si l’effroie sévit jamais le froid n’les saisit, oui, mais quand même !

Le climat est tendu, état des lieux au bord du déclin
Qui est entendu ? s’estime heureux
Celui qui mange À sa faim
Tout devient trop électrique :
Coupe les infos et mets plus fort la musique !

Le fond de l’air du temps effraie on est frileux sans doute
Mais tout se perd même les degrés en août
Tout fout le camp mais, quand même,
On trouve encore des gens déjantés qui s’aiment
Fou, l’air du temps nous rend blêmes
Entre nos paradoxes et nos dilemmes
Tout fout le camp mais, quand même,
On trouve encore des gens déjantés qui s’aiment

Été comme hiver, ils sortent couverts
Et par les temps qui courent, ils n’attrapent rien que l’amour
Même si l’fond d’l’air du temps les effraie
Ils s’envolent en liberté, c’est vrai…

Tout fout le camp mais, quand même,
On trouve encore des gens déjantés qui s’aiment
Fous amoureux, j’dirai même :
Vu par leurs yeux, le monde est moins blême
Tout fout le camp mais, quand même
On trouve encore des gens déjantés qui s’aiment
Fous amoureux quand bien même
Dans leur yeux, seule la douceur est extrême

L’AIR DU TEMPS EFFRAIE

Café noir et gilets jaunes

Un jour où j’allais sortir m’acheter une baguette de pain, j’ai entendu une rumeur grandissante sur le boulevard. Des manifestants brandissaient des pancartes et hurlaient des slogans, et certains d’entre eux fracassaient vitrines et mobiliers urbains sur leur passage. Je me suis soudain littéralement sentie comme le cerf effrayé par la battue. J’ai sorti des biscottes du placard… et mon stylo pour écrire sur l’air du temps !  

Vocal et paroles : Patricia Lenoir
Musique : Frédéric Mathet

Black coffee and yellow jerseys

I was going out to get myself a baguette when I heard a rumor coming from Boulevard St. Germain.  Demonstrators were brandishing placards  and some of them were smashing sho windows and other urban

I suddenly felt like a deer frightened by the hunt.  I helped my self to some dry bicuits , took my pen and started writing Le Temps de l’Air effraie.  Or to put is simply, These Are Scarry Times.

Vocal & lyrics : Patricia Lenoir
Music : Frédéric Mathet

L’AIR DU TEMPS EFFRAIE ​           texte : Patricia Lenoir 2024 prod Lauriston music

Le climat est tendu, envie de fuir, d’aller voir plus loin
C’est chaud dans la rue, j’ose pas sortir
Même pas pour acheter du pain
Tout devient trop électrique
Coupe les infos et mets plus fort la musique !

Le fond de l’air du temps effraie

Le climat est tendu, il pleut des pierres, la ville est en rage
Gôut de déjà-vu, d’orange amére :
Sous les pavés, pas de plage
Tout devient trop chaotique
On casse nos rêves et plus personne n’en fabrique

Le fond de l’air du temps effraie on est frileux sans doute
Mais tout se perd même les degrés en août
Tout fout le camp mais, quand même,
On trouve encore des gens déjantés qui s’aiment

Été comme hiver, ils sortent couverts
Et si l’effroie sévit jamais le froid n’les saisit, oui, mais quand même !

Le climat est tendu, état des lieux au bord du déclin
Qui est entendu ? s’estime heureux
Celui qui mange À sa faim
Tout devient trop électrique :
Coupe les infos et mets plus fort la musique !

Le fond de l’air du temps effraie on est frileux sans doute
Mais tout se perd même les degrés en août
Tout fout le camp mais, quand même,
On trouve encore des gens déjantés qui s’aiment
Fou, l’air du temps nous rend blêmes
Entre nos paradoxes et nos dilemmes
Tout fout le camp mais, quand même,
On trouve encore des gens déjantés qui s’aiment

Été comme hiver, ils sortent couverts
Et par les temps qui courent, ils n’attrapent rien que l’amour
Même si l’fond d’l’air du temps les effraie
Ils s’envolent en liberté, c’est vrai…

Tout fout le camp mais, quand même,
On trouve encore des gens déjantés qui s’aiment
Fous amoureux, j’dirai même :
Vu par leurs yeux, le monde est moins blême
Tout fout le camp mais, quand même
On trouve encore des gens déjantés qui s’aiment
Fous amoureux quand bien même
Dans leur yeux, seule la douceur est extrême

OÙ SONT PASSÉS LES ROMANTIQUES

OÙ SONT PASSÉS LES ROMANTIQUES ?
texte : Patricia Lenoir/2024 prod Lauriston music

Un baiser au clair de lune
Un mot écrit à la plume
Une maison près du rivage
Et des oliviers sauvages
Marcher tous deux pieds nus sur la grève
Aux premières heures du jour qui se lève, suivre nos rêves

Dans l’ère cybernétique où sont passés les romantiques ?
Ouh ouh, où sont les romantiques ?
Si passionnés que fondent les glaces de l’antartique
Ont-ils fermé boutique ?
Ou font-ils l’inventaire des romances authentiques ?
Ouh ouh, où sont les romantiques ?
Faudrait diffuser, à l’échelle intergalactique,
Leur fiche signalétique

Quelques mots un peu mièvres
Une trace de rouge à lèvres
Un cœur dessiné sur un miroir
Et son parfum pour mémoire
Se languir d’elle jusqu’au fond des veines
Traîner, en attendant qu’elle revienne, mon âme en peine

Dans l’ère cybernétique où sont passés les romantiques ?
Quand reviendront-ils de leurs congés sabbatiques ?
Ouh ouh, où sont les romantiques ?
Avec leur folie douce aux accents poétiques

Écrire des cartes postales
Échanger des serments sous les étoiles
Trouver les jours ordinaires pas banals
Rêver d’un monde plus idéal
Pleurer devant une comédie sentimentale

Dans l’ère cybernétique où sont passés les romantiques ?
Si passionnés que fondent les glaces de l’antartique
Ouh ouh, ont-ils fermé boutique ?
Ou font-ils l’inventaire des romances authentiques ?
Ouh ouh, où sont les romantiques ?
Pourquoi ne pas diffuser, à l’échelle intergalactique,
Leur fiche signalétique ?

Ouh ouh, où sont les romantiques ?
Avec leur folie douce aux allures poétiques
Ouh ouh ils sont charismatiques
Se sont-ils égarés dans un flou artistique ?
Où sont les romantiques ?
Pour le savoir, il n’y a pas de programme informatique
C’est la problématique !

OÙ SONT PASSÉS LES ROMANTIQUES

OÙ SONT PASSÉS LES ROMANTIQUES ?​                         texte : Patricia Lenoir/2024 prod Lauriston music

Un baiser au clair de lune
Un mot écrit à la plume
Une maison près du rivage
Et des oliviers sauvages
Marcher tous deux pieds nus sur la grève
Aux premières heures du jour qui se lève, suivre nos rêves

Dans l’ère cybernétique où sont passés les romantiques ?
Ouh ouh, où sont les romantiques ?
Si passionnés que fondent les glaces de l’antartique
Ont-ils fermé boutique ?
Ou font-ils l’inventaire des romances authentiques ?
Ouh ouh, où sont les romantiques ?
Faudrait diffuser, à l’échelle intergalactique,
Leur fiche signalétique

Quelques mots un peu mièvres
Une trace de rouge à lèvres
Un cœur dessiné sur un miroir
Et son parfum pour mémoire
Se languir d’elle jusqu’au fond des veines
Traîner, en attendant qu’elle revienne, mon âme en peine

Dans l’ère cybernétique où sont passés les romantiques ?
Quand reviendront-ils de leurs congés sabbatiques ?
Ouh ouh, où sont les romantiques ?
Avec leur folie douce aux accents poétiques

Écrire des cartes postales
Échanger des serments sous les étoiles
Trouver les jours ordinaires pas banals
Rêver d’un monde plus idéal
Pleurer devant une comédie sentimentale

Dans l’ère cybernétique où sont passés les romantiques ?
Si passionnés que fondent les glaces de l’antartique
Ouh ouh, ont-ils fermé boutique ?
Ou font-ils l’inventaire des romances authentiques ?
Ouh ouh, où sont les romantiques ?
Pourquoi ne pas diffuser, à l’échelle intergalactique,
Leur fiche signalétique ?

Ouh ouh, où sont les romantiques ?
Avec leur folie douce aux allures poétiques
Ouh ouh ils sont charismatiques
Se sont-ils égarés dans un flou artistique ?
Où sont les romantiques ?
Pour le savoir, il n’y a pas de programme informatique
C’est la problématique !

ROMEO and JULIET Acts I & II PM

PM ( Paris remaster) Re mastérisé à Paris octobre 2024

PM ( Paris remaster) Re mastered in Paris October 2024

ROMEO and JULIET Acts I & II PM

PM ( Paris remaster) Re mastérisé à Paris octobre 2024

PM ( Paris remaster) Re mastered in Paris October 2024

ROMEO and JULIET Acts III, IV & V PM

PM ( Paris remaster) Re mastérisé à Paris octobre 2024

PM ( Paris remaster) Re mastered in Paris October 2024

ROMEO and JULIET Acts III, IV & V PM

PM ( Paris remaster) Re mastérisé à Paris octobre 2024

PM ( Paris remaster) Re mastered in Paris October 2024

UN SOUFFLE D’ELLE

LES SANS ABRI

Trop de palabres.  Peu d’actions.

Vocal et paroles : Patricia Lenoir
Musique : Raymond Donnez

THE HOMELESS

Too much talk, not enough action.

Vocal & lyrics : Patricia Lenoir
Music : Raymond Donnez

UN SOUFFLE D’ELLE
texte : Patricia Lenoir 2024 prod Lauriston music

Pas d’endroit où dormir ce soir
Même nuit que la veille
Elle vit au bras du désespoir
Privée de sommeil
Sacs en plastique où elle trimballe
Toute sa vie À dos
Cartons et feuilles papier journal
Comme une seconde peau

Quelle trace laissera-t-elle si elle s’endort
Dans le froid de l’hiver sous l’œil des passants ?
Rien qu’un souffle d’elle qui s’évapore…
Qu’ça nous indiffère ou nous glace le sang

Pas d’endroit où dormir, elle pleure
Là, sous nos fenêtres
Ça nous touche quelquefois le coeur
Puis, ça nous sort d’la tête
Qui lui offrira du soleil ?
La costa del sol,
Des rayons d’or et de vermeil
Plus chauds que l’alcool

Quelle trace laissera-t-elle si elle s’endort
Dans le froid de l’hiver sous l’œil des passants ?
Rien qu’un souffle d’elle qui s’évapore…
Dans l’immense univers, sous nos airs absents

Pas d’endroit où dormir, elle part
Même en titubant
Elle connaît les rues, les trottoirs
Bien mieux qu’ses enfants…
Elle les a quittés un beau soir
Ça fera trente ans !

Quelle trace laissera-t-elle dans le décor ?
Une silhouette dans la nuit, une larme dans l’océan ?
Rien qu’un souffle d’elle qui s’évapore…
Sans vie et sans bruit au milieu du néant
Rien qu’un souffle d’elle, oui, mais alors…
D’une vie sur terre que reste-t-il vraiment ?

UN SOUFFLE D’ELLE

LES SANS ABRI

Trop de palabres.  Peu d’actions.

Vocal et paroles : Patricia Lenoir
Musique : Raymond Donnez

THE HOMELESS

Too much talk, not enough action.

Vocal & lyrics : Patricia Lenoir
Music : Raymond Donnez

UN SOUFFLE D’ELLE             texte : Patricia Lenoir 2024 prod Lauriston music

Pas d’endroit où dormir ce soir
Même nuit que la veille
Elle vit au bras du désespoir
Privée de sommeil
Sacs en plastique où elle trimballe
Toute sa vie À dos
Cartons et feuilles papier journal
Comme une seconde peau

Quelle trace laissera-t-elle si elle s’endort
Dans le froid de l’hiver sous l’œil des passants ?
Rien qu’un souffle d’elle qui s’évapore…
Qu’ça nous indiffère ou nous glace le sang

Pas d’endroit où dormir, elle pleure
Là, sous nos fenêtres
Ça nous touche quelquefois le coeur
Puis, ça nous sort d’la tête
Qui lui offrira du soleil ?
La costa del sol,
Des rayons d’or et de vermeil
Plus chauds que l’alcool

Quelle trace laissera-t-elle si elle s’endort
Dans le froid de l’hiver sous l’œil des passants ?
Rien qu’un souffle d’elle qui s’évapore…
Dans l’immense univers, sous nos airs absents

Pas d’endroit où dormir, elle part
Même en titubant
Elle connaît les rues, les trottoirs
Bien mieux qu’ses enfants…
Elle les a quittés un beau soir
Ça fera trente ans !

Quelle trace laissera-t-elle dans le décor ?
Une silhouette dans la nuit, une larme dans l’océan ?
Rien qu’un souffle d’elle qui s’évapore…
Sans vie et sans bruit au milieu du néant
Rien qu’un souffle d’elle, oui, mais alors…
D’une vie sur terre que reste-t-il vraiment ?

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